Wood Stock Design Contest 2010-2011

Pour cette quatrième édition de Cas d’Ecole, Concevoir ( avec le concours de la FNSAI ) propose aux étudiants en école de design ou d’architecture d’intérieure et aux jeunes professionnels de plancher sur le matériau bois ! Ressource renouvelable par excellence, le bois est l’élément naturel qui humanise nos univers intérieurs de plus en plus industrialisés. Wood Stock Design Contest vous propose de redécouvrir la beauté du bois massif dans son état brut qui vous livre ses caractéristiques naturelles, son grain et son histoire, en particulier les essences de feuillus durables provenant des Etats Unis . Contrairement aux idées reçues les volumes de bois de ces forêts de feuillus tempérés en France comme aux Etats-Unis n’ont cessé de s’accroître. Ils offrent le grand atout de stocker le carbone et contribuent à réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Design produit, élément structurant de l’espace intérieure ou projet d’extension, Wood Stock Design Contest recouvre plusieurs champs d’intervention compris dans vos cursus. Vos projets de création devront répondre aux attentes de notre société actuelle de plus en plus urbanisée qui souhaiterait intégrer plus de matériaux naturels à condition qu’ils s’adaptent à nos contraintes d’espace et de temps et qu’ils soient faciles à personnaliser.
« Cas d’écoles » Dans une volonté de rassembler les acteurs de la prescription, des grandes Industries et de fédérer des synergies de rencontres pour les étudiants et jeunes professionnels, Concevoir, initie pour la Fédération Nationale des Architectes d’Intérieur des Concours d’Ecoles, appels à projet destinés à susciter des opportunités de réflexion et de création autour de développements prospectifs, détournements d’usages et d’utilisations inédites.
Ces concours d’idées s’adressent aux écoles d’Architecture Intérieure et design d’espace aux étudiants de second cycle et jeunes capacitaires. Ils s’inscrivent dans une logique d’association Création / Production et d’approche Recherche / Développement.
www.jeunesarchi.com, une plate-forme web au service des jeunes architectes et architectes d’intérieur .
a voir... dans le var 
VILLA NOAILLES a Hyéres 


COLLECTIONS, EXPOSITION PHOTOGRAPHIE
20 OCTOBRE 2010 - 9 JANVIER 2011
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EXPOSITION PERMANENTE:
CHARLES ET MARIE-LAURE DE NOAILLES, UNE VIE DE MÉCÈNES,
RÉOUVERTURE LE 8 OCTOBRE 2010
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HERMES & RENA DUMAS ....

LA MAISON HERMÈS S’APPRÊTE À OUVRIR UN NOUVEAU SHOWROOM RUE DE SÈVRES, EN NOVEMBRE. ON Y RETROUVERA LES NOUVEAUTÉS D’AUTOMNE, DONT CES COUVERTS EN ACIER MASSIF IMPECCABLEMENT TRACÉS ET SIGNÉS RENA DUMAS.

Par Sandra de Vivies




Elle était une architecte d’intérieur réputée, mais aussi l’épouse de Jean-Louis Dumas, héritier d’Hermès. Pour la marque de luxe, elle a tout dessiné, de la petite cuillère à l’immeuble de
6 000 m2 abritant le siège social et la boutique d’Hermès à Séoul, en 2006. Avant de s’en aller, aussi discrètement qu’elle avait vécu, en avril 2009.
Ce service à couverts, Iliane, est donc l’un de ses derniers projets. Il s’inspire de la feuille de l’olivier, un arbre fort, volontiers centenaire et qui survit, la plupart du temps, à celui qui l’a planté. Faut-il y voir un symbole ? En tout cas, on n’avait pas croisé depuis longtemps aussi jolie fourchette, délicatement incurvée, un peu joueuse avec le protocole, ni si rond et engageant couteau à beurre. Les grandes dames savent décidément recevoir.
À vos agendas !
La formation à l'accessibilité est une obligation 
pour les architectes et les professionnels du cadre bâti.




Article paru dans « maison à part » juin 2010


Maison à part : Pour commencer, pouvez-vous définir en quelques mots le concept d’architecture d’intérieur ?
Étienne Prost : Avant toute chose, une précision terminologique s’impose car, si nous sommes bien des architectes d’intérieur, la discipline que nous exerçons s’appelle l’architecture intérieure et non pas l’architecture d’intérieur. Elle consiste à aménager des espaces dans le cadre bâti et peut d’ailleurs être considérée, à ce titre, comme une spécialité de l’architecture. Nous passons 80% de notre temps dans des espaces fermés - maisons, gares, hôpitaux...- et ces espaces, qu’ils soient anciens ou neufs, même s’ils ne sont que traversés, ont sans cesse besoin d’être rénovés ou modifiés, afin d’offrir aux gens un cadre de vie agréable.
MAP : Maisons, gares, hôpitaux... Un architecte d’intérieur peut donc être amené à aménager des bâtis de nature et d’usage très différents...
E.P. : Oui, effectivement. Cela va de l’habitat collectif ou individuel à l’hôtellerie - la demande est très forte concernant les maisons de retraite - en passant par le secteur commercial - les boutiques, les restaurants... - et tertiaire, c'est-à-dire les bureaux. A noter que l’art d’aménager les bureaux s’appelle le « space-planning », une discipline dont certains architectes d’intérieur ont d’ailleurs fait leur spécialité.
MAP : Où s’arrête et où commence son champ d’intervention ?
E.P. : L’architecte est capable de gérer un projet dans sa globalité, depuis la conception des plans, jusqu’au suivi de chantier en passant par la prise en charge de tous les aspects administratifs et réglementaires. En résumé, un architecte d’intérieur endosse la casquette de maître d’oeuvre, au même titre qu’un architecte ou un ingénieur.
MAP : Dès lors, qu’est-ce qui distingue un architecte d’intérieur, d’un architecte ?
E.P. : La principale différence réside dans le fait que seul un architecte est habilité à déposer une demande de permis de construire pour une surface supérieure à 170 m2. Par ailleurs, l’acte de construire un bâtiment reste le champ d’intervention réservé des architectes. Nous le savons et que ce soit clair : nous ne cherchons pas du tout à empiéter sur leurs plates bandes !
Formation et compétences
MAP : Comment devient-on architecte d’intérieur ?
E.P. : Les écoles qui proposent des formations pour devenir architecte d’intérieur sont nombreuses, mais seule une poignée d’entre elles délivrent de réelles compétences. Pour que les étudiants puissent s’y retrouver, le CFAI a mis au point, en s’appuyant sur la Charte de la formation des architectes d'intérieur élaborée en 1996, une certification qui est délivrée après observation des systèmes pédagogiques et analyse de leurs résultats. A ce jour, treize écoles en bénéficient parmi lesquelles des établissements prestigieux comme, par exemple, l’école Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (ENSAD), l’école Boulle, l’école Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d'Art (ENSAAMA), l'école Camondo ou bien encore l'école Supérieure d'Arts Graphiques et d'Architecture Intérieure (ESAG).
MAP : Selon vous, quelles qualités faut-il avoir pour un être "bon" architecte
d’intérieur ?
E.P. : Le plus important est d’avoir à la fois une fibre artistique pour dessiner de belles choses et un esprit technique pour les faire réaliser. Il faut également avoir une large ouverture d’esprit car l’idée n’est pas de refaire ce qui a déjà été fait mais, au contraire, de toujours chercher à innover.
MAP : Il y a trois ans lorsque nous vous avions interrogé votre prédécesseur, Thierry Conquet, le CFAI déplorait le fait que la profession n’était pas assez réglementée. Les choses ont-elles changées ?
E.P. : Non, malheureusement, nous sommes toujours dans la confusion la plus totale et c’est une véritable blessure pour nous. La situation est paradoxale puisque l’Etat paye des professeurs pour former des élèves mais il ne les reconnaît pas une fois qu’ils sont diplômés. Aucune instance, aucun arrêté administratif, ne contrôle l’exercice de notre profession. Résultat : aujourd’hui, tout le monde peut pendre le titre d’architecte d’intérieur. Nous nous sommes beaucoup battus et nous battons encore pour faire valoir nos compétences, mais jusqu’ici nous n’avons obtenu aucun résultat. Du coup, au CFAI, pour nous protéger, nous délivrons un certificat de reconnaissance des compétences permettant d'exercer les missions d'architecture intérieure.
MAP : Les cas où l’on adopte à tort votre appellation sont-ils encore nombreux ?
E.P. : Il y a toujours des gens peu scrupuleux qui usurpent notre titre, mais il faut quand même reconnaître qu’ils sont moins nombreux qu’avant. Cette tendance à la baisse s’explique par le fait que les gens qui prétendent faire le même métier que nous, empruntent désormais des appellations plus « exotiques » que la nôtre, telles que "home-stager", par exemple, ou "relookeur".
Evolutions et perspectives
MAP : A l’époque de notre dernier bilan vous nous aviez également confié que les particuliers hésitaient à faire appel à vous, notamment à cause du coût des prestations. Ont-ils changé d’appréciation ?
E.P. : Les mentalités ont énormément évolué à ce niveau là. Désormais, les gens ont compris que même si notre intervention représente un certain coût, elle pouvait s’avérer un investissement intéressant notamment pour valoriser leur bien immobilier.
MAP : Alors justement quelle valeur ajoutée apporte l’intervention d’un architecte d’intérieur ?
E.P. : Un architecte d’intérieur aide les gens à transcender leur projet en imaginant une création sur-mesure et qui a du sens. Il réalise un vrai travail de fond sur les volumes, les espaces, les circulations, les ouvertures...
MAP : L’architecture intérieure est actuellement placée sous les feux des projecteurs notamment par le biais de la télévision. Quel regard portez-vous sur cette médiatisation?
E.P. : Globalement, l’impact de ces émissions est plutôt positif car elles aident à mieux faire connaître notre profession auprès du grand public. Après, le problème est qu’elles véhiculent une vision déformée de la réalité. Faire croire aux gens que l’on peut totalement repenser un espace en quarante-cinq minutes, est un pur mensonge !
MAP : En architecture intérieure, quels sont ceux qui, à vos yeux, font vraiment figure de référence ?
E.P. : En général, lorsque mes étudiants me posent la question, je cite les noms d’Eileen Gray, de Jacques-Emile Ruhlmann ou de René Herbst. Plus proches de nous, il y a aussi Andrée Putman, Pierre Paulin, Réna Dumas, Jean-Michel Wilmotte ou Philippe Starck. Chacun d’entre eux, à leur époque, a apporté quelque chose de nouveau à l’architecture intérieure.
merci à wikipedia !


Pierre Paulin
architecte d'interieur designer 1927 / 2009

Né à Paris, Pierre Paulin passe son enfance à Laon. Il acquiert la passion de la création auprès de son grand-oncle, un sculpteur. Il devient étudiant à l'École Camondo en 1951.


Les débuts 

Il travaille dans l'atelier de Marcel Gascoin. En 1953, le succès arrive avec le Salon des arts ménagers, il entame alors une collaboration avec Thonet France. En 1953, il expose ses premières créations à la section « Le Foyer d’aujourd’hui » du Salon des arts ménagers. Paulin trouve alors ses influences dans le mobilier scandinave et dans les productions américaines de Charles Eames et de Florence Knoll. En 1954, l'entreprise Thonet-France commence à éditer les meubles de Pierre Paulin.
En 1958, la maison d’édition de meubles Artifort, basée à Maastricht, décide de s’orienter vers le meuble contemporain et rassemble une équipe de créateurs parmi lesquels Pierre Paulin. Ainsi, de 1960 à 1970, Pierre Paulin développe pour Artifort une gamme de sièges faits de coques en bois moulé garnies de mousse Pirelli et habillées de housses préfabriquées en tissu extensible, aux formes souples et arrondies, aux couleurs vives. Parmi ces sièges iconiques :Mushroom (Champignon) Model No.560, (1960), Tongue chair (Langue) Model No.577, (1967), Ribbon chair (Ruban) Model No.582, (1966).

Travaux  remarquables  

  • 1961 : aménagement du Foyer des artistes de la Maison de la Radio
  • 1969 : Chicago Design Award pour le Ribbon Chair, siège dont la forme évoque celle d’un ruban plié dont la courbe constituerait le dossier
  • 1970 : Pierre Paulin participe à l’aménagement du pavillon d’honneur de la France à l’Exposition universelle d’Osaka. Il présente le canapé Amphys, édité par le Mobilier national, constitué de bandes de mousse qui permettent d’en moduler la forme et la longueur
  • 1968-1972 : Pierre Paulin participe à l’aménagement de l’aile Denon du Musée du Louvre
  • 1971 : aménagement des appartements particuliers du couple Pompidou à l’Élysée : salle à manger, fumoir, salon aux tableaux
  • 1975 : Pierre Paulin fonde l'agence de design ADSA+Partners à laquelle Roger Tallon, Michel Schreiber et Marc Lebailly se joignent en tant qu'associés en 1984. Il dessine des fauteuils de jardin pour Allibert, il travaille à la conception d’une nouvelle gamme de produits pour Calor
  • 1983 : présentation au Musée des arts décoratifs d’une collection de pièces d’ébénisterie réalisées dans le cadre du Mobilier national
  • 1984 : aménagement du bureau du Président de la République François Mitterrand
  • 1986 : aménagement d'avions Airbus
En 1987, Pierre Paulin reçoit le grand prix national de la Création industrielle.
En 2006, Une exposition lui est consacrée lors de la Design Parade 02 à la Villa Noailles à Hyères-les-Palmiers en région PACA. De 2007 à 2008, une grande exposition lui est consacrée aux Gobelins de Paris. Les sièges de Pierre Paulin figurent parmi les collections du MoMA à New York, du Fonds national d'art contemporain, du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou, du Musée des Arts Décoratifs à Paris, du Victoria and Albert Museum à Londres, etc.















URGENCE 
C'est une sorte de trajectoire identique à la nôtre !
Le combat mené par l'AFD est vif et intelligent. 
Peut-être pourrait-on les imiter.
Je dis ça comme ça .....
merci a T.C pour cette info et le petit commentaire.....     à diffuser sans modération !

http://www.alliance-francaise-des-designers.org/blog/2010/09/26/designers-designeuses.html
 !
Histoire de vous donner envie de venir un week-end dans le Sud
a St. Paul de Vence  ......



Et voila le meilleur du Sud .... 
venez nombreux !
Charlotte PERRIAND
architecte d'interieur designer 1903 /1999
Cette Savoyarde grand teint, était curieuse de tout, passionnée par la science, la sociologie, les nouvelles technologies. Après des études d'arts décoratifs, elle se fait connaître dès 1927 par la création de meubles "fonctionnels", comme la table extensible ou les fauteuils pivotants en cuir de couleurs vives présentés en début d'exposition, utilisant des matériaux modernes inusités tels que le métal et devient l'associée de Le Corbusier. Ensuite, son nom ne cessera de figurer parmi les pionniers de l'avant-garde en la matière qui se retrouveront au sein de l'Union des Artistes Modernes présidée par Robert Mallet-Stevens.
Les dix années de collaboration avec Le Corbusier et Pierre Jeanneret, jusqu'en 1937, ainsi que l'expérience au coeur de la culture japonaise représentent, dans la vie de Perriand, des périodes d'épanouissement très intense.
La jeune femme intégre l'atelier Le Corbusier, rue de Sèvres, à Paris, en 1927 et sera responsable du mobilier et de l'équipement de la villa La Roche (siège actuel de la Fondation Le Corbusier), de la Cité du refuge de l'Armée du salut, du pavillon suisse de la Cité universitaire, à Paris. Avec Le Corbusier et Pierre Jeanneret, elle partagera dix ans durant, jusqu'en 1937, cette passion de «créer le nid de l'homme et l'arbre qui le portera».Son long séjour de six ans (1940-1946) au Japon détermine la suite de son travail grâce à sa réinterprétation de la réalité de l'habitation, qui met en résonance tradition et modernité.Elle rédige à son retour en France son "Art d'habiter", manifeste exprimant une vision fondée sur l'harmonie et le vide et participe à la fondation du mouvement Formes utiles dans le cadre de l'UAM. Elle travaille à la réalisation d’un carrelage de Fernand Léger, au prototype d’une cuisine pour l’unité d’habitation du Corbusier à Marseille, à la conception d’un bloc sanitaire avec Jean Borot, aux logements pour le personnel d’Air France à Brazzaville.







En 1952, elle signe avec les Ateliers Jean Prouvé une convention aux termes de laquelle elle est chargée de l'amélioration esthétique des meubles existants et d'apporter des dessins de meubles nouveaux. Ces années 50 voient la concrétisation de ses recherches sur le rangement avec le placard Brazza, les bibliothèques Mexique et Tunisie. Les chantiers d'équipement qu'elle dirige alors - immeuble Air France à Brazzaville, maisons de la Tunisie et du Mexique, agences Air France de Londres, Paris et Tokyo et pavillon du Brésil en 1959 - préfigurent le travail considérable qu'elle accomplira pour la station des Arcs en Savoie au cours des années 70 et 80..... Force est de constater que la rationalisation de l'espace qui devient modulable, le mobilier polyvalent, le principe de préfabrication, la standardisation ont pris naissance avant la seconde guerre mondiale, et Charlotte Perriand a participé à ce vaste élan créateur en inventant entre autres la chaise empilable, le meuble en kit ("Composez-le vous-même"), le rangement (les tiroirs-casiers), les meubles intégrés (la salle de bain préfabriquée en polyester), les WC suspendus...
Ses meubles sont aujourd’hui considérés comme des classiques de la modernité. Elle réinventa les manières d’habiter et fut sans conteste une pionnière dans son art.
http://www.peripheries.net/article198.html




vous allez très certainement aimer !
http://www.design-dautore.com



Salon du design à Courtrai


http://www.interieur.be/fr/

et une video tres decalée ..... a voir !
http://www.youtube.com/watch?v=sOCjYuAWjrM&feature=player_embedded




Maintien de la TVA à 5,5% pour les travaux de rénovation

Le président de la république a confirmé le mardi 14 Septembre 2010 que la TVA sera maintenue à 5,5% dans le secteur du bâtiment. Un soulagement pour les fédérations de professionnels qui estiment que cette mesure a sauvé beaucoup d'emplois dans le secteur du bâtiment.

Pour la Confédération de l'Artisanat et des Petite Entreprise du Bâtiment, le retrait de la TVA à 5,5% "aurait entraîné une contraction importante de la demande de travaux". Suite à un bilan 2009 difficile, la CAPEB s'était mobilisée depuis avril 2010 afin d'obtenir le maintien de cette mesure qui selon ses estimations aurait permis de générer 40.000 emplois durables.
A savoir que la TVA à 5,5% sur les travaux de rénovation, initiée en 1999, représente 5,15 milliards de moins value fiscale pour l'Etat. C'est la seconde niche fiscale la plus coûteuse après le crédit recherche.